Vous ne savez pas quoi faire comme métier ? Si vous aimez le risque, voici quelques idées. Il faut probablement être passionné pour effectuer un travail qui peut vous coûter la vie à tout moment.

Crédit www.carriere.jobboom.com

mexique-police-1770171-jpg_1618435

N°10. Monteur de charpente d’acier : Marcher avec une charge de 60 kilos sur les épaules sur une poutre de 30 centi mètres de largeur, à 200 mètres au-dessus du sol, ça vous tente? Déséquilibrés s’abstenir.

N°9. Cascadeur : Les décès sont plutôt rares chez les cascadeurs, mais les blessures, souvent graves, sont terriblement fréquentes. Beaucoup d’os cassés et de brûlures!

N°8. Pompier parachutiste : Ces pompiers un peu spéciaux sont parachutés au cœur des grands brasiers forestiers, là où les équipes terrestres ne peuvent se rendre. Ils doivent affronter, dans les airs, les langues de flammes, puis atterrir dans les arbres pour se retrouver parfois encerclés par le feu.

N°7. Pilote d’essai : Ces pilotes volent sur des coucous pas encore au point, avant qu’ils ne soient mis en service. Leur job? Tester les appareils au-delà des limites pour lesquelles ils ont été conçus. Si ça tombe, ce sont des centaines de vies (moins une) qui sont sauvées.

N°6. Personnel d’avion de ravitaillement : À des centaines de kilomètres à l’heure, en plein vol, ces courageux gaillards se suspendent dans le vide sous la queue de l’avion afin de parachuter vivres et matériel en des zones inhospitalières. Malgré les harnais, les risques de tomber dans le vide existent.

N°5. Démineur : Les mines antipersonnel camouflées dans le sol tuent ou estropient des dizaines de milliers de personnes chaque année. Le danger est tout aussi réel pour les démineurs. À la moindre vibration involontaire, le cruel petit engin peut leur sauter au visage.

N°4. Correspondant de guerre : Quand les ressortissants étrangers, les diplomates, les civils et les organismes humanitaires fuient à cause du danger, les journalistes entrent, disent les correspondants de guerre. Selon l’organisme Reporters Sans Frontières, une douzaine de journalistes ont déjà été tués dans le monde depuis le début de l’année, la plupart en zone de conflits.

N°3. Bûcheron : Le plus grand risque que court un bûcheron est de mourir écrasé sous un arbre de plusieurs tonnes, lors d’une chute incontrôlée pendant la coupe ou à cause d’un bris de câble au cours du chargement des billots.

N°2. Mineur : À 300 mètres sous terre, les mineurs sont à la merci des coups de grisou, résultant d’une explosion de méthane dans la mine. Les risques pourchassent les mineurs longtemps après leur retraite : des milliers d’entre eux meurent des suites de maladies pulmonaires, après des décennies d’inhalation d’air malsain.

N°1. Pêcheur de crabes en Alaska : En fait, nous pourrions dire «pêcheurs» tout court : 24 000 pêcheurs perdent la vie chaque année partout dans le monde, noyés ou mutilés par les hameçons, selon l’Organisation internationale du travail. Ceux de l’Alaska affrontent durant la saison de pêche les pires tempêtes de l’année, sur leurs petits chalutiers qui doivent résister à des vagues de 10 à 12 mètres, par des températures en deçà de -20 °C. Leurs journées de travail durent parfois 24 heures. L’épuisement est leur pire ennemi.

 

Rating: 2.9/5. From 11 votes.
Please wait...
Voting is currently disabled, data maintenance in progress.